Pour lancer une correspondance entre deux classes, les enseignants demandent à chacun des élèves de fabriquer un objet. Mathis le Marseillais reçoit de Camille la Bordelaise un affreux pull vert à rayures rouges... qu'il se dépêche de jeter à la poubelle. De son côté, Camille n'a pas du tout apprécié le savon liquide que Mathis a concocté avec de l'huile d'olive.
Dans Salut, Hikaru ! une élève japonaise rédige une lettre à un correspondant français, Martin. Pour l'aider, elle fait appel à sa grand-mère qui connaît bien ce pays et l'aime beaucoup. Mais comment écrire à quelqu'un qui est si loin et si différent ? Tout lui semble si étrange... par exemple : «Est-ce que les Français s'embrassent pour se saluer parce que leurs lettres se touchent pour s'exprimer ?» Elle aussi voit ses pensées s'évader vers ce pays à l'aide d'un vieil album photos. Sous ses yeux : boulangeries, terrasses de café, croissants et le fromage !
Dans Konnichiwa, Martin ! un petit Français reçoit un matin une lettre venue du Japon, dans le cadre d'un échange de correspondants entre écoles. Elle commence par «Konnichiwa» et se termine par «Hikaru», au milieu : tout un tas de symboles impossibles à comprendre sauf peut-être les petits smileys à la fin de chaque phrase. À travers cette lettre que Martin ne peut pas déchiffrer, le garçon s'évade, rêve et part à la rencontre de ce pays si loin du sien et qu'il ne connaît pas. Mais surtout, il nous embarque avec lui dans ses découvertes : le mont Fuji, Tokyo, les futons et le poisson cru !
Il existe une île sans nom, qui n'est répertoriée sur aucune carte et qui cache au fond de son volcan éteint le trésor d'une bande de pirates. Si un bateau s'approche, le réveil du volcan est simulé, à grand renfort de feu et d'explosion, si bien que l'île n'est jamais visitée. Nul ne sait donc qu'elle abrite aussi les "coquins" : Morbleue, Flibuste, Gargousse, Babord, Tribord, Cayenne et Fantine sont tous enfants de pirates. Ils reçoivent sur l'île une éducation de qualité. Pas question qu'ils ne parcourent les mers, comme leurs parents. Mais le jour où, ceux-ci partis, une caravelle espagnole file droit sur l'île, sans dévier sa course, les coquins n'ont pas d'autres choix que de se dévoiler et protéger leur secret.